Le centre de gestion des catastrophes environnementales était face aux journalistes ce jeudi. Cette rencontre des responsables de ce centre et les hommes de médias s’inscrit dans le cadre d’un partenariat qui pointe à l’horizon. Réduire les catastrophes en Guinée, c’est l’objectif que vise le centre de gestion des catastrophes. Il est d’ailleurs le point focal des systèmes des Nations Unies en Guinée dans le cadre de la réduction des issues des catastrophes. « C’est pourquoi la coordination des acteurs est sous la tutelle du ministère de l’environnement » indique d’entrée en matière le directeur du centre.
Les objectifs de cette aventure avec les médias sont clairs. C’est en cela que le coordinateur National du Réseau des Médias Africains pour la Santé et l’Environnement en République se veut rassurant. Il a également expliqué le but de cette rencontre avec les médias. « Il faut reconnaître que cela s’inscrit en droite ligne de notre plan d’action dans le cadre de la promotion des activités de réseaux des médias africains pour la santé et l’environnement en République de Guinée. Donc ce réseau a un encrage national. Nous entamons un cape des organismes en République de Guinée, donc on va pas s’arrêter ici, nous allons aussi prendre un Speedo jusqu’à ce que nos remasin soit installés en République de Guinée et qui va avoir une grande visibilité qui sont spéciaux sur les questions de santé et de l’environnement pour qu’on puisse interpeler chaque fois que ces institutions ont besoin en matière de couverture médiatique ou en matière de développement de leurs visibilité sur les préoccupations des populations qui sont les bénéficiaires finaux en République de Guinée. » a fait savoir, Moussa Iboune CONTÉ.
Plus loin, il a aussi souligné la motivation du centre pour sa collaboration avec les médias, et invite les autres médias à s’impliquer sur les questions environnementales et santés, pour faire valoir ce centre fait en Guinée.« Je demande à nos confrères de créer des rubriques axées sur les questions de santé et environnementales et que les journalistes soient dédiés et décharger des autres tâches au seins des rédactions, qu’on crée des conditions de niveau des travaille descend, pour que ceci puisse être pertinent et performant. » Poursuit-il
Alhassane Barry, est le Directeur en charge des gestions de catastrophes. Il n’a pas manqué de reconnaitre la place des médias dans la valorisation des activités du centre dont il a la charge de diriger. Pour lui, cette collaboration ne peut qu’être saluée « Le centre national des gestions des catastrophes au ministère de l’environnement se réjouit de cette collaboration. Par ce que, le centre qui œuvre dans le cadre de l’élaboration des stratégies des catastrophes de la coordination des acteurs, et aussi de la prévention. Il avait du mal a porté main sur les médias. Par ce que souvent, les médias n’interviennent que quand il y’a catastrophe, cependant ils ont un très grand rôle a joué dans le cadre de la réduction des catastrophes. Nous sollicitons de ces médias, aujourd’hui d’avoir plus d’informations dans le cadre de la réduction, dans la lutte contre les catastrophes. » a-t-il expliqué. Il ajoute en ces termes « Spécifiquement sur le terrain, nous assurons la prévention avec les cartographies que nous identifions et les risques. Il y’a aussi des comités en place pour faire remonter les informations qui sont liées à ses risques, que nous avons déjà identifiés. Ce qui nous permet de faire la prévention. » indique M. BARRY
LALEMAN GUINÉE