La protection des végétaux est l’une des préoccupations des acteurs de l’agriculture et de l’élevage. Cette branche transversale, a toute son importance dans le cadre de la prévention, le traitement des maladies qui attaquent les plantes. En guinée elle ressort de la mission de la Direction nationale de la protection des végétaux. Ces nombreuses maladies qui affectent les végétaux sont nuisibles et dévastatrices. « C’est de suivre, chercher à connaitre les nuisibles proposées les traitement et faires le traitement. Nous avons pour mission de connaitre les pathologies liées à ces plantes qui sont pratiquement comme les organismes humains, qui sont affectées par des maladies comme des champignons, bactéries, microbes, nématodes et des mauvaises herbes qui empêchent leur développement. Et on cultive pour avoir un bon résultat. Mais si la protection des végétaux n’est pas tellement prise en comptes on n’a jamais les résultats escomptés et la sécurité alimentaires est menacées. » affirme Fadima HAIDARA Directrice Nationale de la protection des végétaux.
L’un des rôles de cette Direction national de la protection des végétaux est aussi prévenir les différentes maladies qui sont susceptibles de mettre en péril les cultures. « Comme vous avez vu un moment ici quand ya les grands fléaux de maladies des épidémies comme Ébola et Covid, la manière dont les médecins se précipitent pour barrer le chemin à ces maladies c’est exactement la même chose que nous et les contrôleurs phytosanitaires doivent être présent au niveau des frontières pour empêche d’éventuel invention ou d’introduction es nuisibles qui n’existe pas chez nous » décrit Madame Fadima Haidara
En Guinée, les maladies qui ravagent les cultures sont aussi nombreuses et variées. Elles se manifestent sous plusieurs formes et avec un impact négatif sur les différentes cultures. Ce qui pourrait engendrer l’insécurité alimentaire « Nous avons beaucoup de maladies, l’anthracnose, des bananiers, des maladies fongiques qui sont perpétrées par des champignons. Nous avons des maladies bactériale et plein d’insectes aussi, comme les criquets pèlerins. Nous avons des chenilles, et cette année il y a eu l’invention terrible de la chenille défoliatrice. » explique-t-elle
Bien qu’ils évident, que les efforts sont fournis dans le secteur de la protection des végétaux, cependant beaucoup d’autres restent encore à faire. C’est pourquoi, dans sa lutte, cette dame invite les acteurs concernés et les autorités à prendre les dispositions afin de limiter les impacts dans le secteur agricole « Aujourd’hui il y a beaucoup d’importateurs, distributeurs des produits phytosanitaires en Guinée. Et les gens pensent qu’ils sont tellement habitués à ces produits, il y a des applicateurs qui sortent de partout et y a des intoxications qui ne disent pas leurs noms. Ils ne connaissent pas ces quoi et ils ne veulent pas vernir s’informer à la Protection des Végétaux.
Donc nos défis aujourd’hui c’est limiter les dégâts causés par les pesticides. A ce niveau, nous invitons les paysans de venir s’informer au niveau de la protection des végétaux. Les produits là aujourd’hui minimisent l’effort qu’on faisait pour le travail champêtre, pour le binage. Si les critères d’application ne sont pas respectés, dit toi que tes semences la trouveront le reste des produits et vivre avec ou détruit ou diminue leur pouvoir germinatif. La sensibilisation des paysans par rapport à l’application des produits qui sont les couteaux à double tranchant. » Renchéri Mme HAIDARA.
Ce qu’il faut dire, la protection des végétaux doit être un travail continu et chaque acteur doit jouer sa partition.
LALEMAN GUINÉE