La sous-préfecture de Koba, est l’une des grandes agglomérations de la préfecture de Boffa. Elle a une population de 62801habitants. Avec cette forte concentration de la population, elle compte 7 postes de santés et un centre de santé au centre urbain.
Pour ce qui est ce centre santé, la fréquentation est au rythme des services offert par le personnel soignant. Pour soulager la population, de nombreux agents sont déployés sur le terrain.
Une situation que le chef de centre décrit avec assurance « Nous parlons du personnel de santé, il ya 22 qui sont payés par l’Etat, 89 relais communautaires et 8 ASC, 3 sages femmes. Les filles de salle sont au nombre de 8 et les garçons de salle sont au nombre de 7. Nous évoluons avec ces gens sur le terrain pour qu’on puisse satisfaire la population. » indique Dr Traoré Ismael, chef de centre.
Dans cette sous-préfecture, nombreuses maladies y sont. Mais les plus fréquentes figure « le paludisme, après c’est les IRA, les hermentoises, les parasitoses. Et vous comprenez qu’à Koba il y a le port, donc il ya le VIH et la tuberculose. » explique Dr Traoré.
Au sein du centre de santé de Koba centre, toutes les maladies détectées sont prises en charge par les responsables. Une prise en charge rendu possible grâce un appui dont bénéfice le centre « Nous faisons la prise en charge concernant le paludisme, nous avons un appui.
Il ya le programme stop Palu plus, qui nous dote les intrants et à former 14 agents qui évoluent sur le terrain concernant la prise en charge des cas simple. Les centres de santé et les postes de santé sont dotés en intrants. Les cas graves nous les référons à Kondéya. » affirme Dr Traoré.
Les maladies transmissibles comme le VIH, sont aussi prise en compte au centre de Santé de Koba. Selon le chef de centre, un système d’accompagnement est mis en place pour aider les séropositifs à s’en sortir mieux « Avant, avec Ebola que la Guinée a connu, les postes et les centre de santé n’étaient pas fréquentés, mais maintenant là, avec la sensibilisation le centre est beaucoup fréquenté. Par mois ont peut enregistrer jusqu’à 300 malades.
Tout Koba on peut enregistrer jusqu’à 1700 et quelques malades. Pour le moment il ya la confiance entre les agents de santé et la population. Nous avons une unité de prise de charge du VIH, puisse qu’avant pour détecter il faut envoyer les crachats à Boffa, mais maintenant nous un microscope ici qui nous permet de détecter. Il ya quand même beaucoup de VIH » rassure Dr Traoré
Aliou Diallo